Alain Chabanon

Des terroirs variés

Le domaine n’a que peu bougé depuis le premier millésime sorti en 1992. C’est autour de Montpeyroux qu’Alain Chabanon a trouvé les vignes qu’il souhaitait : âgées, car pour faire de grands vins il faut de vieilles vignes. La sève y met plus de temps à monter, concentrant ainsi les arômes.

Le domaine s’étend aujourd’hui sur près de dix-huit hectares. Au fil du temps, il a planté uniquement 2,5 hectares, en 2016, en blanc et rouge, puis 1 hectare de Cinsault en 2020. Les parcelles sont réparties sur cinq villages : Montpeyroux, Saint-Saturnin, Jonquières, Lagamas et Saint-André-de-Sangonis. Cela permet de bénéficier des particularités de terroirs différents.

C’est aussi une certaine assurance contre les événements climatiques, car il est rare qu’ils se produisent en même temps sur des communes différentes.

D’année en année sa production a progressivement augmenté, passant de 2000 à 50 000/60 000 bouteilles en vingt-cinq ans.

La reconnaissance du travail d’Alain Chabanon a commencé en 1995, quand le guide Gault et Millau a attribué la note de 18,5 à un de ses vins après une dégustation à l’aveugle.

Le marché international lui a ouvert ses portes, puis petit à petit sa notoriété s’est affirmée aussi sur le marché français, installant ses vins sur les plus grandes tables

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